14.5.06

Pour le samedi 20 mai

D'abord une grande nouvelle :
vous pouvez désormais consulter les sous-titres du film sur Internet. Sous-titres anglais : http://www.writely.com/View.aspx?docid=bdgh6f4fb4tp6

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Voici le résumé de ce qui se passe entre la scène que nous avons vue le 13 mai et celle que nous verrons le 20 mai.

Marcel est mort dans son lit avec un couteau planté dans le dos.
Gaby s'évanouit.
On apprend que Monsieur avait demandé le couteau à Chanel la veille au soir pour découper du carton.
Il faut appeler la police. Suzon téléphone.Mais le fil du téléphone est coupé.
Louise fait remarquer que les chiens n'ont pas aboyé de la nuit. Si personne n'est venu de l'extérieur, ça veut dire que l'assassin est dans la maison.
On se réunit autour de la table. Suzon demande qui a téléphoné la dernière. C'est Chanel. Vers 7h30 le matin, elle a commandé de la viande chez le boucher, mais il n'a pas pu livrer à cause de la neige.
Suzon en conclut qu'à 7 heures et demie l'assassin était encore dans la maison et qu'il coupé les fils du téléphone après.
Suzon demande ensuite à sa mère de lui parler des affaires de son père. Gaby n'était pas très au courant des histoires d'argent. Marcel ne lui en parlait pas.
Augustine précise qu'il était bien secondé par Monsieur Farnoux. Suzon ne le connaît pas ce nom. Gaby lui rappelle que c'est le nouvel associé de son père à l'usine.
D'après Gaby, Farnoux n'est venu qu'une fois ou deux à la maison et qu'ils ne le fréquente pas, ou très peu.
Augustine semble sceptique.Louise dit que quand Monsieur Farnoux est venu à la maison, les chiens l'avaient bousculé et qu'ils avaient aboyé car ils avaient senti qu'il avait lui-même un chien.Suzon demande alors qui hérite des biens de son père. (14:08)

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Le 20 mai, on s'intéressera plus particulièrement au dialogue suivant :

214 Maman, qui hérite des biens de Papa ?
215 Moi. Enfin, je veux dire nous. Dans ces cas-là, on vend l’usine et on partage entre la femme et les enfants, La moitié pour la femme et… mais les notaires savent très bien tout ça.
220 Catherine, va me chercher un mouchoir.
Oui, maman.
221 Et il va falloir aussi prévenir la sœur de papa.
La sœur de ton père ? Mais quelle idée ! Une femme pareille !
223 Mais oui, maman, tu m’as écrit qu’elle était venue s’installer dernièrement dans une maison près du village.
Tu sais pourquoi ?
225 Mais je ne sais pas, sans doute dans l’espoir de renouer avec Marcel.
Après la vie de débauche qu’elle a menée à Paris, elle penserait qu’elle trouverait refuge auprès de son frère, riche.
Dieu merci, cette fille n’a jamais mis les pieds dans notre maison.
229 C’est affreux, je pars pendant un an et quand je rentre papa est mort, assassiné.
Aujourd’hui je vois tout avec des yeux neufs. C’est incroyable comme en un an les visages changent.
234 Tu trouves que j’ai vieilli ?
235 Mais non maman, tu es toujours aussi belle malgré les années qui passent.
238 Peut-être. Et cette catastrophe se chargera bien de me donner mon âge.
Ah mon Marcel ! Nous nous entendions si bien…
239 Nous étions tendrement unis.
242 Au point de faire chambre à part !